Légendes du CIS

Par max122, 15/10/07

CONTE :

Avant l'arrivée du President, sur les futures terres de Kiponie, vivaient de joyeux barbares. Ceux-çi s'étaient installés dans l'actuelle region de Kipie.

Parmi eux, vivait un vieil ermite dont le nom était Kipibix. C'était une sorte de sage que tout le monde vénérait et son fils, Bedibon, était le chef du village.

Kipibix était à la fois la mémoire du village et le meilleur buveur de cervoises de tous les environs. Trop âgé pour pouvoir travailler aux champs et perclu d'arthrite douloureuse, il s'asseyait sous son arbre préféré et repensait aux plus belles années de sa jeunesse en sirotant une petite cervoise. Souvent, les enfants du village se groupaient autour de lui et l'écoutaient raconter une belle histoire de chasse aux sangliers ou de pêche miraculeuse. Les petits barbares ne se lassaient jamais de ces joyeuses tranches de vie du passé.

Un jour, alors qu'il rentrait chez lui pour le diner, il lui sembla soudain que le temps s'arrêta et il fut submergé par une vague déferlante de peur incontrôlable... Le phénomène repartit comme il était venu et Kipibix reprit pied dans la réalité. Surpris et effrayé, il lui fallut un peu de temps pour rassembler ses idées et comprendre qu'il venait d'avoir une prémonition. Aussi vite qu'il le put, il avertit son fils qu'un terrible malheur allait survenir. Malheureusement son fils qui avait entouré le village de solides constructions defensives, ne le crut pas.

Bedibon était furieux contre lui. Nul ne pouvait s'opposer à sa volonté et à ses choix sans en payer les conséquences. Ne pouvant l'exécuter parce que c'était tout de même son père, il ne voulait laisser croire aux villageois que tous pouvaient ainsi mettre en doute ses décisions et ternir son auréole de puissance, il se résolut à bannir son père.

Mais les villageois avaient grande estime pour le vieux sage et tous le portaient dans leur coeur. C'est pourquoi quelques-uns d'entre eux décidèrent d'aller parler à leur chef pour essayer de le faire changer d'avis. Mais Bedibon campa ferme sur sa décision et se mit ainsi son peuple à dos.

Les tensions étaient palpables dans le village mais Bedibon ne changeait pas d'avis.

Kipibix, qui avait suivi son instinct, était parti en direction des montagnes, quand la culpabilité de laisser mourrir les siens le prit. Il revint sur ses pas et, en entrant dans le village, fût surpris par les tensions qui y règnaient. Fort de vouloir sauver son peuple, il parla sur la place du marché où il fut écouté avec la plus grande attention possible.

Bedibon, qui se trouvait dans son luxueux palais, eut vent de celà et fit intervenir les gardes de la cité, malgré les protestations de ses sujets. Kipibix fut à nouveau banni avec la promesse de mort s'il revenait chez lui. Mais Bedibon était loin d'être sot et compris que son peuple ne le suivrait plus. Il décida que, jusqu'a la date présumé du cataclysme, il enfermerait son peuple dans les hautes murailles et pourrait ainsi lui prouver que rien ne pouvait lui arriver.

De son côté, Kipibix sentait le danger approcher de plus en plus et, à son plus grand désespoir, il marcha jusqu'au plus haut sommet habitable du Kret Kermesite, où il se réfugia avec sa peine attendant le moment fatidique où se produirait sa prémonition qui lui avait fait tant perdre.

Il s'était installé dans une petite clairière où il avait construit une cabane avec le magnifique bois des montagnes !!
Dans cette clairière il y avait une cascade qui debouchait sur un petit lac, elle était entourée d'une foret et elle était en hauteur avec une vue superbe sur le litoral où il y avait le village de Bedibon !!

Quelques semaines après son depart, le village fut dévasté par un raz de marée. Personne ne survécut et tout fut englouti par les eaux déchaînées.

Quand les eaux se furent calmées et que tout était revenu à la normale, Kipibix décida de redescendre quand même dans l'espoir de trouvr quelques survivants. Il fouilla laborieusement chaque recoin de ce qui avait été autrefois son village. Il ne put malheureusement rien trouver, ni personne. La mer, ou la colère divine, avait purement effacé le village et ses habitants.

S'écroulant au milieu de ce qui avait du être la place du marché, Kipibix pleura longtemps sur ses amis disparus, ces habitants morts, toutes ces vies gâchées par pure arrogance.

Ne se sentant pas la force de rester dans ce lieu qui ne lui rappelait que la mort en permanence, il repartit dans la montagne et décida d'y attendre sa propre mort.

Bien des années plus tard, pendant que Kipibix pechait du poissons, un homme arriva près ed lui et l'aborda.
kipibix fut très surpris de recevoir de la visite !
ils commencèrent à parler et avoir de la sympathie !!
Kipibix qui voulait absolument aprendre a ce cher visiteur tout son savoir : il lui apprit l'art de tisser des tunique, l'art de fer des materiaux avec du fer , l'art des plantes medicinals et même l'art de transforer le plond en or : l'alchimie !!
Malheureusement après quelque mois en sa compagnie Kipibix mourra même avec le savoir de cet anciens le visiteuer n'as pus le soigner !!
Ce visiteur était le Prez !! et en l'honneur de Kipibix il construisit la cité de KIPIE.

Est-ce vrai ? Personne ne le sait !!

Par Balian, 15/10/07

CONTE :

Avant l'arrivée du President, sur les futures terres de Kiponie, vivaient de joyeux barbares. Ceux-çi s'étaient installés dans l'actuelle region de Kipie.

Parmi eux, vivait un vieil ermite dont le nom était Kipibix. C'était une sorte de sage que tout le monde vénérait et son fils, Bedibon, était le chef du village.

Kipibix était à la fois la mémoire du village et le meilleur buveur de cervoises de tous les environs. Trop âgé pour pouvoir travailler aux champs et perclu d'arthrite douloureuse, il s'asseyait sous son arbre préféré et repensait aux plus belles années de sa jeunesse en sirotant une petite cervoise. Souvent, les enfants du village se groupaient autour de lui et l'écoutaient raconter une belle histoire de chasse aux sangliers ou de pêche miraculeuse. Les petits barbares ne se lassaient jamais de ces joyeuses tranches de vie du passé.

Un jour, alors qu'il rentrait chez lui pour le diner, il lui sembla soudain que le temps s'arrêta et il fut submergé par une vague déferlante de peur incontrôlable... Le phénomène repartit comme il était venu et Kipibix reprit pied dans la réalité. Surpris et effrayé, il lui fallut un peu de temps pour rassembler ses idées et comprendre qu'il venait d'avoir une prémonition. Aussi vite qu'il le put, il avertit son fils qu'un terrible malheur allait survenir. Malheureusement son fils qui avait entouré le village de solides constructions defensives, ne le crut pas.

Bedibon était furieux contre lui. Nul ne pouvait s'opposer à sa volonté et à ses choix sans en payer les conséquences. Ne pouvant l'exécuter parce que c'était tout de même son père, il ne voulait laisser croire aux villageois que tous pouvaient ainsi mettre en doute ses décisions et ternir son auréole de puissance, il se résolut à bannir son père.

Mais les villageois avaient grande estime pour le vieux sage et tous le portaient dans leur coeur. C'est pourquoi quelques-uns d'entre eux décidèrent d'aller parler à leur chef pour essayer de le faire changer d'avis. Mais Bedibon campa ferme sur sa décision et se mit ainsi son peuple à dos.

Les tensions étaient palpables dans le village mais Bedibon ne changeait pas d'avis.

Kipibix, qui avait suivi son instinct, était parti en direction des montagnes, quand la culpabilité de laisser mourrir les siens le prit. Il revint sur ses pas et, en entrant dans le village, fût surpris par les tensions qui y règnaient. Fort de vouloir sauver son peuple, il parla sur la place du marché où il fut écouté avec la plus grande attention possible.

Bedibon, qui se trouvait dans son luxueux palais, eut vent de celà et fit intervenir les gardes de la cité, malgré les protestations de ses sujets. Kipibix fut à nouveau banni avec la promesse de mort s'il revenait chez lui. Mais Bedibon était loin d'être sot et compris que son peuple ne le suivrait plus. Il décida que, jusqu'a la date présumé du cataclysme, il enfermerait son peuple dans les hautes murailles et pourrait ainsi lui prouver que rien ne pouvait lui arriver.

De son côté, Kipibix sentait le danger approcher de plus en plus et, à son plus grand désespoir, il marcha jusqu'au plus haut sommet habitable du Kret Kermesite, où il se réfugia avec sa peine attendant le moment fatidique où se produirait sa prémonition qui lui avait fait tant perdre.

Il s'était installé dans une petite clairière où il avait construit une cabane avec le magnifique bois des montagnes !!
Dans cette clairière il y avait une cascade qui debouchait sur un petit lac, elle était entourée d'une foret et elle était en hauteur avec une vue superbe sur le litoral où il y avait le village de Bedibon !!

Quelques semaines après son depart, le village fut dévasté par un raz de marée. Personne ne survécut et tout fut englouti par les eaux déchaînées.

Quand les eaux se furent calmées et que tout était revenu à la normale, Kipibix décida de redescendre quand même dans l'espoir de trouvr quelques survivants. Il fouilla laborieusement chaque recoin de ce qui avait été autrefois son village. Il ne put malheureusement rien trouver, ni personne. La mer, ou la colère divine, avait purement effacé le village et ses habitants.

S'écroulant au milieu de ce qui avait du être la place du marché, Kipibix pleura longtemps sur ses amis disparus, ces habitants morts, toutes ces vies gâchées par pure arrogance.

Ne se sentant pas la force de rester dans ce lieu qui ne lui rappelait que la mort en permanence, il repartit dans la montagne et décida d'y attendre sa propre mort.

Bien des années plus tard, pendant que Kipibix péchait dans un fleuve, un homme arriva près de lui et l'aborda.

Kipibix fut d'abord très surpris de recevoir de la visite. En effet, ils s'était résigné à ne plus croiser personne et à finir sa vie seul et abandonné dans ces montagnes abruptes.

Ils commencèrent à parler, de tout, de rien et, au fur et à mesure que les conversations s'enchaînaient, ils commencèrent à avoir une sympathie mutuelle. Kipibix voulait absolument apprendre à ce cher visiteur tout son savoir : il lui apprit l'art de tisser des tuniques, l'art de faire des materiaux avec ce que nous donnait Mère Nature , l'art des plantes medicinales et même l'art de transformer le plonb en or : l'alchimie !!

Malheureusement après quelques mois passé avec ce visiteur devenu ami, Kipibix vit la fin de sa vie et, même avac toute la vonlonté et le savoir transmis, l'homme n'arriva pas à arrêter le temps, seulement à soulager les douleurs du vieux Kipibix.

Fort attristé par la mort de celui qu'il considérait comme son mentor, l'homme décida d'ériger une civilisation en l'honneur de celui qui lui avait tout appris. Il commença par bâtir la ville qu'il appelerait Kipie, en l'honneur de son viel ami. Depuis lors, cet homme se fait appeler Président ou Instance Suprème, selon l'humeur. Il règne en maitre dans ce monde qu'il a appelé Kiponie et où il est adulé, respecté et aimé.
.

Est-ce vrai ? Personne ne le sait !!

Voilà j'ai corrigé les fautes ... et rajouté un petit bout

Par Shtephen, 15/10/07

Vous êtes vraiment doués.

Encore quelques idées ?

Quand nous aurons fini, je le ferai publier dans le Journal en notre nom à tous pour que toute la Kiponie puisse admirer le talent offert par l'IS à ses fidèles.

Par tabit200, 15/10/07

*clap clap clap*

c'est vrai que c'est super, vous avez fait du bon boulot (désolée de ne pas avoir participer, mais je n'ai aucune imagination pour ce genre de chose )

Par Shtephen, 16/10/07

Pensez-vous pouvoir encore rallonger ou puis-je envoyer à l'imprimerie ?

Par max122, 16/10/07

Si tu veux stephen je peux m'en charger !! Etant redac chef je peux la faire publier de suite !!
biensur je ne gagnerais rien desuus !!

Par Shtephen, 16/10/07

Merci, mais je ne comptais pas me faire payer bien sûr et je souhaitais qu'elle paraisse à Koryndon puisque c'est LA ville du CIS.

De plus, je ne suis pas à Gypsis et je ne peux te l'envoyer. Et tu ne peux faire paraitre tes propres articles comme tu le sais ! Le Rédac'Chef de Koryndon va bientôt arriver...


Par max122, 16/10/07

pas de probleme c'était juste pour rendre service je sais tres bien que tu ne vas pas toucher de l'argent dessus !

Par Shtephen, 16/10/07

C'est gentil et c'est bien comme cela que je l'ai entendu. Mais tu ne peux malheureusement pas rendre service en enfreignant les Chartes Journalistiques !! (dit le dinosaure du Journalisme en moi) Tu risques bien pire que le bûcher !!

Par Balian, 16/10/07

Euh, si Max est d'accord, moi je n'ai rien à ajouter ... mon talent st libre pour d'autres contes si vous avez besoin d'aide ... et j'adore ça ...

Par Shtephen, 17/10/07

Il est paru :

Les plumes du CIS : le 16/10/2007

Ce conte a été créé de toutes pièces à plusieurs plumes par les membres du CIS. Sur un concept souhaité par Statler, notre Parolex Maximum. Sur une idée de base lancée par Max122. Avec le génie conjugué de Balian, Max122 et Shtephen. Je vous laisse apprécier la première concrétisation commune du talent que les membres du CIS ont reçu de l'Instance Suprême pour leur dévotion sans borne.


Avant l'arrivée du Président, sur les futures terres de Kiponie, vivaient de joyeux barbares. Ceux-ci s'étaient installés dans l'actuelle région de Kipie.

Parmi eux, vivait un vieil ermite dont le nom était Kipibix. C'était une sorte de sage que tout le monde vénérait et son fils, Bedibon, était le chef du village.

Kipibix était à la fois la mémoire du village et le meilleur buveur de cervoises de tous les environs. Trop âgé pour pouvoir travailler aux champs et perclus d'arthrite douloureuse, il s'asseyait sous son arbre préféré et repensait aux plus belles années de sa jeunesse en sirotant une petite cervoise. Souvent, les enfants du village se groupaient autour de lui et l'écoutaient raconter une belle histoire de chasse aux sangliers ou de pêche miraculeuse. Les petits barbares ne se lassaient jamais de ces joyeuses tranches de vie du passé.

Un jour, alors qu'il rentrait chez lui pour le dîner, il lui sembla soudain que le temps s'arrêta et il fut submergé par une vague déferlante de peur incontrôlable... Le phénomène repartit comme il était venu et Kipibix reprit pied dans la réalité. Surpris et effrayé, il lui fallut un peu de temps pour rassembler ses idées et comprendre qu'il venait d'avoir une prémonition. Aussi vite qu'il le put, il avertit son fils qu'un terrible malheur allait survenir. Malheureusement son fils qui avait entouré le village de solides constructions défensives, ne le crut pas.

Bedibon était furieux contre Kipibix. Nul ne pouvait s'opposer à sa volonté et à ses choix sans en payer les conséquences. Ne pouvant l'exécuter parce que c'était tout de même son père, il ne voulait laisser croire aux villageois que tous pouvaient ainsi mettre en doute ses décisions et ternir son auréole de puissance, il se résolut à bannir son père.

Mais les villageois avaient grande estime pour le vieux sage et tous le portaient dans leur coeur. C'est pourquoi quelques uns d'entre eux décidèrent d'aller parler à leur chef pour essayer de le faire changer d'avis. Mais Bedibon campa ferme sur sa décision et se mit ainsi son peuple à dos.

Les tensions étaient palpables dans le village mais Bedibon ne changeait pas d'avis.

Kipibix, qui avait suivi son instinct, était parti en direction des montagnes, quand la culpabilité de laisser mourir les siens le prit. Il revint sur ses pas et, en entrant dans le village, fût surpris par les tensions qui y régnaient. Fort de vouloir sauver son peuple, il parla sur la place du marché où il fut écouté avec la plus grande attention possible.

Bedibon, qui se trouvait dans son luxueux palais, eut vent de cela et fit intervenir les gardes de la cité, malgré les protestations de ses sujets. Kipibix fut à nouveau banni avec promesse de mort s'il revenait chez lui. Mais Bedibon était loin d'être sot et compris que son peuple ne le suivrait plus. Il décida que, jusqu'à la date présumée du cataclysme, il enfermerait son peuple entre les hautes murailles et pourrait ainsi lui prouver que rien ne pouvait lui arriver.

De son côté, Kipibix sentait le danger approcher de plus en plus et, à son plus grand désespoir, il marcha jusqu'au plus haut sommet habitabledu Kret Kermesite, où il se réfugia avec sa peine attendant le moment fatidique où se produirait sa prémonition qui lui avait fait tant perdre.

Il s'était installé dans une petite clairière où il avait construit une cabane avec le magnifique bois des montagnes.Dans cette clairière il y avait une cascade qui débouchait sur un petit lac, elle était entourée d'une foret et elle était en hauteur avec une vue superbe sur le littoral où il y avait le village de Bedibon.

Quelques semaines après son départ, le village fut dévasté par un raz de marée. Personne ne survécut et tout fut englouti par les eaux déchaînées.

Quand les eaux se furent calmées et que tout était revenu à la normale, Kipibix décida de redescendre quand même dans l'espoir de trouver quelques survivants. Il fouilla laborieusement chaque recoin de ce qui avait été autrefois son village. Il ne put malheureusement rien trouver, ni personne. La mer, ou la colère divine, avait purement effacé le village et ses habitants.

S'écroulant au milieu de ce qui avait du être la place du marché, Kipibix pleura longtemps sur ses amis disparus, ces habitants morts, toutes ces vies gâchées par pure arrogance.

Ne se sentant pas la force de rester dans ce lieu qui ne lui rappelait que la mort en permanence, il repartit dans la montagne et décida d'y attendre sa propre mort.

Bien des années plus tard, pendant que Kipibix pêchait dans un fleuve, un homme arriva près de lui et l'aborda.

Kipibix fut d'abord très surpris de recevoir de la visite. En effet, ils s'était résigné à ne plus croiser personne et à finir sa vie seul et abandonné dans ces montagnes abruptes.

Ils commencèrent à parler, de tout, de rien et, au fur et à mesure que les conversations s'enchaînaient, ils commencèrent à développer une sympathie mutuelle. Kipibix voulait absolument apprendre à ce cher visiteur tout son savoir : il lui apprit l'art de tisser des tuniques, l'art de faire des matériaux avec ce que nous donnait Mère Nature , l'art des plantes médicinales et même l'art de transformer le plomb en or : l'alchimie !!

Malheureusement après quelques mois passés avec ce visiteur devenu ami, Kipibix vit la fin de sa vie et, même avec toute la volonté et le savoir transmis, l'homme n'arriva pas à arrêter le temps, seulement à soulager les douleurs du vieux Kipibix.

Fort attristé par la mort de celui qu'il considérait comme son mentor, l'homme décida d'ériger une civilisation en l'honneur de celui qui lui avait tout appris. Il commença par bâtir une ville qu'il appellerait Kipie, en l'honneur de son vieil ami. Depuis lors, cet homme se fait appeler Président ou Instance Suprême, selon l'humeur. Il règne en maître dans ce monde qu'il a appelé Kiponie et où il est adulé, respecté et aimé.

Est-ce vrai ? Personne ne le sait !!


Cette histoire vous a plu ? Elle a été écrite pour vous par les membres du Culte de l'Instance Suprême.

Par Statler, 17/10/07

Félicitations les enfants! Un petit don de 50k$ aux participants pour les remercier du la peine qu'ils ont prise.

Encore bravo à vous!